Première au festival Théâtres d’été de Nyon, le 16 août 1996. Chorégraphie pour quatre danseurs.
Petites catastrophes naturelles renoue avec la veine plus narrative des spectacles de Philippe Saire. C’est bien une « histoire » que nous suivons ici, celle d’une relation triangulaire aux désirs insatisfaits. A la manière de Trahisons de H. Pinter, les rapports se chargent peu à peu de tromperies, mensonges, compromis, de « petites catastrophes »… individuellement de peu de conséquences, dont personne n’est réellement responsable.
En parallèle, un solo plus allégorique répond à cette narration. Il met en scène un personnage qui essaie de trouver son humanité et de se garder sensible.
Allégorie de l’irresponsabilité, Petites catastrophes naturelles se veut un spectacle léger. Faussement.
Chorégraphie
Philippe Saire
Danse
Karine Gasset,
Corinne Rochet,
Massimo Biacchi,
Philippe Saire
Scénographie et lumières
Jean-Marie Bosshard
Costumes
Isa Boucharlat
Musique
Beethoven,
Gus Viseur
Chorégraphie
Philippe Saire
Danse
Karine Gasset,
Corinne Rochet,
Massimo Biacchi,
Philippe Saire
Scénographie et lumières
Jean-Marie Bosshard
Costumes
Isa Boucharlat
Musique
Beethoven,
Gus Viseur